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Portal:パリ

Pigalle (quartier parisien)の22 novembre 2013 à 00:41版の翻訳)

ピガール劇場(ピガール広場)

ピガール地区(: Pigalle (quartier parisien))は、パリ9区18区にまたがって所在する地区である。地区の中心にはフランスの彫刻家、ジャン=パチスト・ピガール(1714-1785)(fr:Jean-Baptiste Pigalle)の名に因んだピガール広場(fr:place Pigalle)がある。

パリの観光名所のひとつとして知られている。モンマルトルの丘を上方に臨み、地区内にはエロティズム美術館(fr:musée de l'érotisme)(エロティズム美術館オフィシャルページ(日本語))が設立されている。売春街としても有名で、アダルトグッズショップナイトクラブキャバレーが数多く点在する。地区に拠点を置く主な劇場およびキャバレーでは、特にムーラン・ルージュが世界的に有名である。

現在では、ギター、キーボード、録音機器などの専門街としても知られ、主にクリシー大通り、ヴィクトール・マセ通り、ドゥアイ通りに販売店が密集する。

周辺のメトロの駅には、地区と同名のピガール駅があり、2番線12番線が通る。

歴史

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ムーラン街のサロンにて(ロートレック 作)

売春街としてのピガールの歴史は、1881年にロドロフ・サリス(fr:Rodolphe Salis)がキャバレー「ル・シャノワール」(fr:Le Chat noir)をロシュシュアール大通り(fr:boulevard Rochechouart)84番地に開店したことに遡る。当時、ロートレックの友人で彼の絵画にも描かれたアリスティド・ブリュアン(fr:Aristide Bruant)が歌手としてキャバレーに勤めており、彼を中心にボヘミアン社会が形成されていった。1885年にブリュアンがキャバレーの経営を受け継ぎ、ヴィクトール・マセ通りへと店を移転させ、名前を「ル・ミルリトン」と改めた。同年10月、ニューカレドニアで終身刑の宣告を受け、1880年に大赦されたマキシム・リスボンヌ(fr:Maxime Lisbonne)が「ラ・マルミット」を創設し猥褻劇を上映した。また、彼はストリップを発明し、劇場「ル・ディヴァン・ジャポネ」で上映した。

1889年、キャバレー「ル・ムーラン・ルージュ」がモンマルトルの丘のふもとに建設された。ほどなくして、キャバレー周辺に次々とレストランやバーが作られるようになり、ムーラン・ルージュはサン=マルタン門(fr:porte Saint-Martin)やサン=ドニ門(fr:porte Saint-Denis)周辺の歓楽街の客層を少しずつ獲得していく。熱心な客はこれらの歓楽街やキャバレーをはしごした後、更にロシュシュアール大通り80番地の劇場「レリゼ・モンマルトル」へと繰り出すのであった。ロートレックピカソゴッホモーリス・ヌーモンfr:Maurice Neumont)、ダリといった画家が、この地区を描いた。

1910年頃、ピガール地区とモンマルトル地区の「ならず者」たちがたむろする場所となり、ピガール広場、「ラ・ヌーベル・アテヌ」(La Nouvelle Athènes)、「ラ・ケルメス」(La Kermesse)、「ル・プチ・マキシムス」(Le Petit Maxim's)、「ロムニビュス」(L'Omnibus)といったカフェは、連夜女を求める人々で賑わった。その中には売春業者もいて、若い女性を見つけては売春宿まで引っぱり住まわせた。彼女たちの中にはアルゼンチンやアメリカに売られる女性もいた。ギャンブル台がいたる場所に設置され、偽カードを用いるプロギャンブラーで蔓延った。

1918年にアルコールと照明に関する規制が敷かれ、21時以降営業できるのは売春宿のみに限られるようになる。以降、売春宿は裏組織の掌握下におかれることになる。1930年代には、ピガール地区は本格的な裏組織の拠点となり、ブランシュ広場、ピガール広場、周辺の路地にはバーが軒を連ねるようになり、連日取引が行われた。売春宿は9区に集中し、177の店舗で2千人の女性が働いているとされ、路地には5メートルおきに売春婦が立ち客引きを行っていた。

売買業者の顔役はブランシュ広場のブラッスリー「グラッフ」(Graff)やカフェ「カフェ・ドゥ・ラ・プラス・ブランシュ」(Café de la Place Blanche)にたむろし、その地下には彼らの元で働く斡旋業者が潜んでいた。これらの店の他にも、「ル・ラ・モール」(Le Rat mort)、「ル・ピガール」(Le Pigall's)、「ル・モニコ」(Le Monico)なども彼らの集会所となっていた。当時流行していたナイトクラブとしては、クリシー大通り26番地の「ル・プチ・ジャルダン」(Le Petit Jardin)や、「タイチ」(Thaiti)などがある。ジョセフィン・ベーカーデューク・エリントンアーネスト・ヘミングウェイパブロ・ピカソジョン・スタインベックといったアーティスト、芸術家、文化人らも足繁くこれらの店に通っていた。ピガール通り66番地の「ブリックトップス」(Bricktop's)は、1930年代の最も有名なジャズ・キャバレーのひとつであった。

1932年になると、コルシカ出身のグループとパリのグループとの間で抗争が起こるようになった。キャバレー「ランジュ・ルージュ」(L'Agne rouge)、「ラ・ブル・ノワール」(La Boule noire)、「ゼリーズ」(Zelly's)ではメンバーの暗殺が行われ、当局の取り締まりが相次ぎ店舗閉鎖にまで至った。第二次世界大戦直前には、ヘロインが大量に出回り、バーやレストランで取引が行われた。売買を取り仕切っていたメンバーには、ジョゼフ・ロッカ=セラ(Joseph Rocca-Serra)、ヴァンソン・バテスチニ(Vincent Battestine)、アンドレ・アントネリ(André Antonelli)らがいる。

La Seconde Guerre mondiale et l'Occupation allemande n'apportent pas beaucoup de changement aux affaires des truands du quartier. Les cercles privés, les tripots clandestins, les cabarets, les dancings, les boîtes de nuit et les bordels continuent à recevoir de la clientèle. Les membres de la Gestapo aiment se retrouver place Pigalle, au Dante et au Chapiteau, et rue de Pigalle, au Chantilly et à L'Heure Bleue.

À la Libération, la nouvelle loi Marthe Richard interdit désormais en France les maisons closes, mais cette décision ne fait pas disparaître la prostitution. Les prostituées se retrouvent dans la rue ou travaillent dans les hôtels de passe. À la fin des années 1950, la bande des Trois Canards, de nom du bar qui leur servait de quartier général, rackettent les hôtels de passe et les filles qui y travaillent. Les bars les plus courus sont Le Charly's et Le Petit Noailles.

Dans les années 1960, de nombreux hôtels de passe sont poursuivis pour proxénétisme et leurs propriétaires sont obligés peu à peu de les fermer. Le nombre de prostituées diminue de même, cependant le quartier reste très populaire pour faire la fête avec ses fêtes foraines, ses baraques de striptease et ses bars à hôtesses. Dès le début des années 1970, avec la libération des mœurs, les premiers cinémas pornographiques s'installent, les boutiques de sex-shops se multiplient ainsi que les salons de massages, et les premiers live-shows apparaissent, dans lesquels des couples font l'amour en public. Subsistent aujourd'hui notamment quelques bars à hôtesses réputés pour être des attrape-touristes.

関連映画

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参考文献

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  • Claude Dubois, La Rue Pigalle, la place : la ville aimante se meurt, Paris, Jean-Paul Rocher, 2011, 111 p., ISBN 9782917411506.
  • Ministère de l'Intérieur, Civique no 155


DEFAULTSORT:ぴがーる Category:パリの地理 Category:パリ9区 Category:パリ18区






サン=ジェルマン=デ=プレ大修道院
Abbaye de Saint-Germain-des-Prés (フランス語)
サン=ジェルマン=デ=プレ広場から見た大修道院付属教会(サン=ジェルマン=デ=プレ教会)
基本情報
所在地 フランスの旗 フランス パリ
座標 北緯48度51分14秒 東経2度20分04秒 / 北緯48.85389度 東経2.33444度 / 48.85389; 2.33444座標: 北緯48度51分14秒 東経2度20分04秒 / 北緯48.85389度 東経2.33444度 / 48.85389; 2.33444
宗教 カトリック教会
管理者 キルデベルト1世
ウェブサイト église-sgp.org
テンプレートを表示

サン=ジェルマン=デ=プレ大修道院は、パリにかつて存在した修道院のひとつで、現在のパリ6区にあった。創建は6世紀のキルデベルト1世の治世。

修道院はフランス革命時に閉鎖され、以来改修されていない。かつて大修道院付付属教会として使用されていた教会は、1801年のコンコルダ(政教条約)により小教区教会となり、「サン=ジェルマン=デ=プレ教会」と呼ばれるようになった。

歴史

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Le roi Childebert Ier, fondateur de l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés. Représentation rétrospective du XIIIe siècle, pierre calcaire, restes de polychromie. Provient du trumeau de la porte du réfectoire de l'abbaye. (Musée du Louvre).

Époque romaine

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Avant la fondation de l'abbaye, il existait déjà à l'époque romaine, un temple probablement dédié à Isis, alors appelé Locotice, qui assurait l'immortalité aux initiés. Ce lieu de culte profitait d'une position légèrement plus haute qu'aux alentours (un "mamelon" aujourd'hui invisible car en partie arasé) à l'abri des crues annuelles, car ce temple se trouvait alors le long d'une route allant vers l'ouest qui longeait la Seine à bonne distance (grosso modo à la hauteur du boulevard Saint-Germain), hors des zones humides connues au Xe siècle sous le nom de « Clos de Laas ». Cette voie rejoignait ensuite le passage du fleuve par ce qui est aujourd'hui la rue Saint André des Arts[1].

Haut Moyen Âge (500-987)

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L'époque mérovingienne (481-751) : la fondation

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Afin de glorifier la tunique de saint Vincent et une croix d'or de Tolède, reliques ramenées de Saragosse à la suite d'une expédition en 542 contre Amalaric roi des Wisigoths qui persécutait son épouse chrétienne Clothilde, Childebert Ier, fils de Clovis et roi mérovingien, fit construire une basilique qui fut placée sous le double vocable de saint Vincent et de la sainte Croix. Il fera également un donation des terres du « clos de Laas » à cette dernière en 553. Elle fut consacrée vers 558 par l'évêque de Paris, Germain, ancien moine de l'abbaye Saint-Symphorien de Saint-Pantaléon (Saône-et-Loire) dont-il fait venir les moines[2] en 543.

Dans une charte du 6 décembre 558, Childbert Ier annonce « J'ai commencé de construire une église », ce qui permet de dater la fondation du monastère aux environs de 557[3]. Le souverain mérovingien y fut inhumé le 23 décembre 558 entre les 2e et 3e piliers sud[4], puis, à sa suite, plusieurs membres de la famille royale des Mérovingiens de Paris : Chilpéric Ier en 584, Frédégonde en 598, Clotaire II en 628, Childéric II en 673 et son épouse Bilichilde, morte en 679[5]. Les corps, entourés d'un suaire ou vêtus, furent déposés dans des tombeaux placés dans le chœur des moines ; ainsi, l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés fut, avant l'abbaye de Saint-Denis, et après celle de Sainte-Geneviève, nécropole royale. L'évêque Germain, lui, avait été enterré dans la chapelle Saint-Symphorien, à côté de l'église le 28 mai 576 alors qu'il avait fait don de son alleu de Bitry[6].

Dès le VIe siècle un monastère s'installa à côté de l'église. À partir du VIIe siècle le nom de Saint-Germain fut associé à celui de Saint-Vincent.

カロリング朝 (751-987)

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En 756, en présence de Pépin le Bref et de son fils Charles, futur Charlemagne, le corps de saint Germain est transféré de la chapelle Saint-Symphorien dans l'église même, derrière l'autel principal, en raison de l'affluence des pèlerins qui venaient lui rendre hommage. L'importance du cimetière, mis au jour à côté de l'église en 1876[7], s'explique aussi par ce désir de rapprochement de la sépulture de Saint-Germain[5]. L'église est désormais uniquement connue comme Saint-Germain-des-Prés.

L'abbaye, largement et richement dotée de terres à cette période (le polyptyque d'Irminon, rédigé autour de 823-828, en donne une idée), est assaillie à plusieurs reprises par les Normands dès 845, puis en 856 et n'est sauvée du saccage que contre le paiement d'une importante rançon[5]. Mais en 861, un incendie détruit l'abbatiale. Restaurée en 869, elle est à nouveau occupée par ceux-ci lors du siège de Paris (885-886), dont le déroulement nous est connu par le récit qu'en fit un moine de l'abbaye, Abbon de Saint-Germain-des-Prés. Les bâtiments sont pillés, saccagés, puis brûlés, marquant la destruction de l’œuvre de Childebert[5]. Les reliques de Saint-Germain, mises plusieurs fois à l'abri des murailles de Paris, retrouvent leur place en 888.

Bas Moyen Âge (987-1500)

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L'époque des Capétiens directs (987-1328)

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L'abbé Morard rebâtit l'église et sa tour vers l'an mil : cette dernière était expressément mentionnée dans son épitaphe, conservée dans l'église actuelle, mais la date de la nef est contestée. En même temps que le clocher-porche, deux tours encadrent le chevet : elles sont quasiment détruites au XIXe siècle.

La règle bénédictine de Cluny est introduite en 1024[8].

En 1124 un concile réuni par Suger se tient en l'abbaye pour trancher la revendication de l'Abbaye Notre-Dame d'Argenteuil.

Au XIIe siècle, le chœur de l'abbatiale est démoli et remplacé par un sanctuaire gothique à déambulatoire et chapelles rayonnantes. Il est dédicacé le 21 en présence du pape Alexandre III et de nombreuses personnalités (Jean II (archevêques) de Tolède[9], Humbauld évêque d'Ostie), événement rapporté par l'abbé Hugues de Monceaux; la porte (occidentale) qui vit l'entrée du pape portera alors le nom de porte papale.

De 1227 à 1273, quatre abbés rebâtissent de nouveaux bâtiments, de style gothique : cloître, réfectoire, salle du chapitre et dortoirs, ainsi que la chapelle de la Vierge, que l'on doit à l'architecte Pierre de Montreuil, élevée entre 1245 et 1255[5] qui y fut inhumé.

De nombreux conflits opposèrent l'abbaye et l'Université au sujet de l'appartenance du Pré-aux-Clercs, en 1179 puis Philippe III de France ordonnera l'arasement de deux tours qui en fermaient l'entrée[10] en 1278 au sujet du Pré-aux-Clercs. Les abbés se fondant sur une Bulle pontificale de 1107 donnant le droit d'interdire l'entrée du monastère et la reconnaissance par Alexandre III (pape) lors du Troisième concile du Latran les privilèges comme le port de la mitre et des ornements pontificaux. L'abbaye a des droits de justice avec son pilori, sa prison et son gibet qui sont attestés par la pendaison de faux monnayeurs qui furent pris et pendu sur ses terres en 1256.

L'époque des Valois directs (1328-1500)

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L'abbé Richard de Laître fait réparer l'église[11] et fortifier le monastère. En 1368, le roi Charles V fait rénover les fortifications de Paris (la partie droite de la rive dite : enceinte de Charles V) par un fossé, il demande que l'abbaye fasse de même.
Le creusement de douves nécessita d'ailleurs à l'époque l'achat par les religieux d'une partie du Pré-aux-Clerc à l'Université qui reçut en échange le terrain mitoyen situé au nord l'abbaye que l'on appela « Petit Pré-aux-Clerc » (la partie principale étant alors désignée sous le nom de « Grand Pré-aux-Clerc »).
Les douves de l'abbaye fut alimentées en eau par un canal de 27 m de largeur que l'on appela la « Petite Seine » (qui coulait lui-même en lieu et place d'une ancienne rivière appelé la « Noue ») et dont le tracé suit l'actuelle rue Bonaparte.

Entre 1408-1410, Guillaume III L'Évêque fait renouveler le lutrin et le mobilier du chœur[12], mais aussi une châsse en vermeil pour saint Germain par les orfèvres Jean de Clichy, Gautier Dufour et Guillaume Boey[13].

En 1418 la porte de Bucy est livrée au parti des Bourguignons.

Le roi Louis XI octroie le développement d'une foire de St-Germain ayant autant d'importance que celle de St-Denis en 1483[14].

近代(16〜18世紀)

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thumb|right|350px|Palais abbatial construit au XVIe siècle.

Une nouvelle dissension avec les écolâtres en 1533 fut durement réprimée, le 20 mars 1557 sur le Pré-aux-Clercs, l'un d'eux fut brûlé en cette même année, le maître autel fut remplacé par un sculpté par Antoine d'Artois[15], les deux cloches fêlées sont descendues.

La peste sévit en ville en 1561, le roi Charles IX, sa mère Catherine de Médicis et la cour trouvèrent refuge en l'abbaye.

En 1586, le cardinal abbé Charles de Bourbon fait bâtir par Guillaume Marchant, le palais abbatial en brique et pierre (5-7 rue de l'Abbaye).

Henri IV s'empara à deux reprise de l'abbaye pour en faire son observatoire sur Paris en 1590, l'abbé fit partie de ceux qui aidèrent à la conversion du futur roi.

À partir de 1631, l'abbaye devient l'un des principaux centres intellectuels de France : c'est la date à laquelle la congrégation de Saint-Maur fait de Saint-Germain-des-Prés son abbaye-mère. Les mauristes rénovent la science historique en lui imposant plus de rigueur dans la lecture des sources : dom Jean Mabillon, dom Bernard de Montfaucon comptent parmi les plus grands historiens de leur temps. Ils rassemblent à l'abbaye une très riche bibliothèque, tant d'imprimés que de manuscrits.

Le XVIIIe siècle est marqué par le "règne" de Louis de Bourbon-Condé (1709-1771), comte de Clermont, prince du sang, cousin germain et filleul de Louis XV. À la mort en 1737 d'Henri III de Thiard, cardinal de Bissy, évêque de Meaux et abbé depuis 1715, l'abbaye et tous les biens en dépendant se trouvaient dans un bien triste état. À sa prise de possession en septembre, le comte de Clermont fait procéder à un état des biens de la manse abbatiale - à ne pas confondre avec la manse conventuelle relevant des religieux. Les réparations sont estimées à la coquette somme de 132,669 livres !

Abbaye de Saint-Germain-des-Prés en 1687 (vue du nord).

Le comte confie les réparations à son architecte Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne (1711-1778), petit-fils de Jules Hardouin-Mansart. On se porte en priorité sur les restaurations et remaniements intérieurs du palais abbatial. Il semble que le bâtiment n'avait pas connu de tels travaux depuis ceux du cardinal de Furstemberg en 1690 ! Mansart de Sagonne réhaussa l'ensemble des pièces, entrainant la disparition des poutres et solives du XVIe siècle, remplaça les sols de pierre par des parquets, orna les salons de boiseries, cheminées et corniches rocailles, disposa en partie des croisées à petits carreaux au lieu et place des anciennes croisées à meneaux. Il modifia enfin la totalité de la distribution des 2e et 3e étages, rebâtit entièrement le logis en retour, à droite, sur la cour principale et ravala la totalité des façades et cheminées. Une partie des décors intérieurs étaient encore visibles au XIXe siècle. Le palais connaitra une nouvelle restauration radicale en 1978 par l'architecte Raymond Simounet.
Les restaurations se portèrent également sur les grilles de la rue du Colombier, de l'avant-cour (actuelle place de Furstemberg) et de la cour principale sur la rue de Bourbon-le-Château. Mansart de Sagonne ravala en outre les façades des remises et écuries de l'avant-cour et rebâtit entièrement le logis de la basse-cour (musée Delacroix). Dans l'abbaye, il établit, dans la chapelle Saint-Nicolas, à gauche du chœur, une tribune pour le comte de Clermont, lui permettant d'assister aux offices depuis son palais.

Mansart de Sagonne fut également chargé de la restaurations des autres biens de la manse dont les bâtiments de la foire et du marché saint-Germain, et surtout des château et jardins de Berny (Hauts-de-Seine ; détruit), résidence d'été des abbés depuis la fin du Template:XVIIe, réalisation de son arrière-arrière-grand-oncle François Mansart (1598-1666). Commencés en 1737, les travaux sur la manse abbatiale furent achevés en 1741. C'est vers cette date que l'architecte quitta le service du comte de Clermont pour celui du roi avec la cathédrale Saint-Louis de Versailles.

À la mort du comte de Clermont en 1771, Louis XV, suivant son droit de régale, décida de ne pas nommer de nouvel abbé. Il se réserva les revenus de l'abbaye et confia la gestion de ses biens à son administration des Économats. La situation demeurera ainsi jusqu'en 1774, date de l'arrivée de Louis XVI sur le trône et de la nomination de Charles-Antoine de La Roche-Aymar, qui sera le dernier abbé de Saint-Germain-des-Prés. À sa mort en 1777, l'abbaye retombe entre les mains des Économats. La situation perdurera jusqu'à la Révolution, la monarchie souhaitant profiter de ses revenus en cette période de difficultés budgétaires.

フランス革命

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À la suite de la suppression des communautés monastiques, l'église est fermée le 13 février 1792 et les bâtiments monastiques sont vendus comme Bien national par adjudication à M. Ledoux pour la somme de 8,120 Livres. Les précieux manuscrits de la bibliothèque de l'abbaye sont dispersés : une bonne partie sera rachetée par le diplomate russe Piotr Doubrovski[16]. La plupart des tombeaux mérovingiens sont détruits, ainsi que le baldaquin du maître-autel (conçu par Oppenordt en 1704), et la grande châsse-reliquaire en vermeil de saint Germain de 1408 est fondue. Une raffinerie de salpêtre fonctionne dans l'église de 1794 à 1802, l'armée installe une réserve de charbon et une fonderie de canons de fusils.
Le 19 août 1794, douze tonnes de poudres entreposées en l'abbaye explosent et y boutent le feu, l'œuvre de Pierre de Montereau est détruite ainsi que le cabinet des antiquités et la bibliothèque mais les livres sont sauvés.

La chapelle de la Vierge est rendue au culte par un décret du 31 mai 1795 mais l'église ne l'est qu'en 1803 de par la destruction de la chapelle en 1802.
Des rues sont percées au travers de l'abbaye : rue de la Paix (devenue rue de l'Abbaye) au travers du cloitre en 1802, rue des Petits Augustins (devenue rue Bonaparte) au travers des jardins en 1804.

現代(19〜20世紀)

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En 1824, l'architecte Étienne-Hippolyte Godde restaure l'autel avec les marbres du tombeau du connétable Anne de Montmorency[17].

De chaque côté du chœur, on peut voir deux masses carrées, s'arrêtant à la naissance de la voûte : c'est la base des deux tours, construites au XIe siècle; elles ont été détruites en 1822 par Étienne-Hippolyte Godde, sous Louis XVIII, « par économie », afin d'épargner les frais de leur restauration; et si on les a laissées subsister dans leur partie inférieure, c'est qu'elles ont paru nécessaires comme appui de l'église.

Les vestiges de l'abbaye ont fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 26[18].

La chaire de marbre dessinée par Quatremère de Quincy est réalisée par Godde en 1827, l'année suivante François-Joseph Heim peint la nouvelle chapelle de la Vierge. Hippolyte Flandrin participe plutôt dans le chœur puis dans la nef et des cartons pour les vitraux de 1856 à 1861.

Victor Baltard participe à la rénovation en faisant sculpter des chapiteaux pour la nef, ouvrir des baies et restaurer le clocher-porche, ceci entre 1848 et 1853.

Eugène Lefèvre-Pontalis mène une étude sur l'église en 1919 à l'occasion du LXXX Template:IIe Congrès d'Archéologie, Paris, tenu par la Société française d'archéologie.

Les bâtiments du monastère

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Il subsiste aujourd'hui principalement l'église et le palais abbatial. La construction de l'abbatiale, tour et nef, remonte à l'époque romane (XIe ‑ XIIe siècles ) ; elle est considérée par les historiens comme un des plus anciens édifices religieux de Paris[19].

サン=ジェルマン=デ=プレ教会

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L'église des Template:S2-

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  • Le clocher-porche, rénové par l'abbé Morard vers l'an mil après que la basilique de la Sainte-Croix fut incendié à trois reprise par les normands entre 845 et 886[20]. Après la réaffectation des bâtiments sous la Révolution, le salpêtre entreposé a énormément endommagé la structure, les baies ont été rebouchées par Godde pour en maintenir la structure. Lors de la rénovation du milieu du XIXe, Baltard fait rouvrir les baies en arc outrepassé par Robert Vassas et des travaux de consolidation entre 1975/1978 permettent de dater ce quatrième étage de la deuxième moitié du XIe siècle.
  • Le portail roman : il est daté du milieu du XIIe siècle, et fut mutilé en 1607-1608 lorsqu'un porche fut ajouté à l'Ouest de la tour d'entrée. Les statues-colonnes qui l'ornaient, quant à elles, furent détruites en 1793 sûrement à cause de la croyance qui voulait qu'elle représentassent les rois de France; mais le linteau représentant la Cène est encore visible. L'abbé Lebeuf en fit une des premières études[21].
  • La nef, elle remonterait à l'abbé Ingon, mort en 1025[22]
  • Le chœur
  • Le déambulatoire
  • la chapelle Saint-Symphorien, à droite en entrant, a été construite en même temps que la tour porche et remonte à l'époque mérovingienne, François de Sales la consacra après sa rénovation le 28 avril 1619.
Le portail tel qu'il était en 1745, avant d'être détruit sous la Révolution.
  • Les chapelles rayonnantes
  • La chapelle d'axe : elle fut reconstruite en 1819.
  • le portail.

Les remaniements ultérieurs

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Les amitiés entre Étienne-Hippolyte Godde chargé de la restauration de l'abbaye, Victor Baltard amenèrent à donner la totalité du programme de peinture à Hippolyte Flandrin. De 1842 à 1846 un premier programme de deux grand tableaux l'Entrée à Jérusalem et La Montée au Calvaire qui se font face dans le sanctuaire et sont de style romain. Entre 1846 et 1848, dans la Chapelle des Apôtres, dans un style byzantin du XIIe siècle avec deux collèges d'Apôtres menant à l'étimasie. Pour la nef, le travail s'est étagé entre 1856 et 1863 et est coupé en vingt grands tableaux groupés par deux dans l'espace coupé par chaque travée ; sur la partie gauche de la nef se trouve le Nouveau Testament alors que sur la droite se trouve l'Ancien Testament.
La mort de l'artiste ne lui permit pas de finir par un quatrième programme qui devait couvrir les transepts, selon ses carnets « Dans les transepts on mettrait selon leur place, du côté nord, tout ce qui se rapporter au Christ juge, et au midi ce qui le montrerait triomphant »
Sébastien Cornu a exécuté après sa mort le transept nord.

オルガン

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L'orgue, construit par la manufacture Haerpfer-Erman en 1973, compte 56 jeux répartis sur 4 claviers et pédalier.

Les statues

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Le palais abbatial

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Le palais abbatial est toujours visible au 3, rue de l'Abbaye.
Restauré dans les années 1970 il abrite désormais la Faculté d'Éducation de l'Institut Catholique de Paris et différents centres de formation de l'enseignement catholique.

le palais et l'église en 1698

L'intérieur du palais est fonctionnel (salles de cours, bureaux). Il ne reste plus grand-chose de son passé et de sa fonction primitive. Modifié une première fois par le cardinal Guillaume-Egon de Furstenberg, après l'autorisation du Grand Conseil le 21 août 1698, puis le comte de Clermont en 1737-1741 avec Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, le palais connait une dernière grande intervention avec Roland Simounnet dans les années 1970. La place de Furstenberg et la rue Cardinale correspondent à l'ancienne cour d'honneur, allée et écuries du palais (le musée Delacroix est installé dans ces dernières), précédés d'un portique avec fronton triangulaire de Guillaume Marchand.

焼失した建物

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Vitrail de la chapelle de la Vierge (aujourd'hui disparue), placé actuellement dans la chapelle Sainte-Geneviève de l'église Saint-Germain-des-Près.
  • Le cloître : rénové en 1227.
  • La chapelle de la Vierge : édifiée avec le réfectoire par l'architecte Pierre de Montreuil entre 1245 et 1255, elle était constituée d'une nef de 32.50 mètres sur 9, avec 15 fenêtres équipées de vitraux. Elle est détruite au début du XIXe siècle. On peut voir aujourd'hui le portail, qui a été remonté, au Musée de Cluny, ainsi que des vitraux à Baltimore[23] et New-York[24]; deux verrières ont été reconstituées dans une chapelle absidiale[5] (chapelle Sainte-Geneviève) de l'église à partir de fragments de vitraux de la chapelle de la Vierge et du réfectoire[25] (voir photo ci-contre).
  • Le dortoir : rebâti vers 1273.

関連人物

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歴代大修道院長

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Liste des abbés[26] :

Abbatiat[27] Abbé Commentaire

1504 (10 février) - 1507 (16 novembre)

Guillaume IV Briçonnet

Cardinal en 1495, archevêque de Reims.

1507 (16 novembre) -1534 (24 janvier)

Guillaume V Briçonnet

Fils du précédent, évêque de Lodève puis de Meaux.

1534 (24 janvier) - 1562 (22 avril)

François I de Tournon

Cardinal en 1530, archevêque de Bourges, puis d'Auch et enfin de Lyon.

1562 (11 mai) - 1590 (9 mai)

Charles I de Bourbon

Prince du sang, cardinal en 1547, archevêque de Rouen.

1590 (9 mai) - 1594 (30 juillet)

Charles II de Bourbon

Prince du sang, neveu du précédent, cardinal en 1582, archevêque de Rouen.

1594 - ?

Jean VI Percheron

Abbé fiduciaire ; les revenus de l'abbaye sont perçus par François de Bourbon-Conti, frère du précédent abbé.

? - 1617

Louis I Buisson

Abbé fiduciaire ; les revenus de l'abbaye sont perçus par la veuve de François de Bourbon-Conti, Louise Marguerite de Lorraine jusqu'en 1623.

1623 - 1668 (12 octobre)

Henri II de Bourbon-Verneuil

Bâtard de France, duc de Verneuil, évêque de Metz.

1668 - 1672 (16 décembre)

Jean II Casimir Vasa

Ancien roi de Pologne.

1672 - 1683

Louis II César de Bourbon

Bâtard de France, comte de Vexin

1697 (janvier) - 1704 (10 avril)

Guillaume VI Egon de Furstenberg

Cardinal en 1685, évêque de Strasbourg.

1704 (10 avril) - 1714 (18 décembre)

César d'Estrées

Cardinal en 1671, évêque d'Albano.

1715 (1er janvier) - 1737 (26 juillet)

Henri III Pons de Thiard de Bissy

Cardinal en 1715, évêque de Meaux.

1737 (15 août) - 1771 (16 juin)

Louis III de Bourbon-Condé

Prince du sang, comte de Clermont-en-Argonne.

1774 (22 janvier)[28] - 1777 (21 octobre)

Charles III Antoine de La Roche-Aymon

Cardinal en 1771, archevêque de Reims.

Charles-Antoine de La Roche-Aymon fut le dernier abbé commendataire de Saint-Germain-des-Prés. De sa mort à la suppression des ordres religieux (1791), l'abbaye fut mise aux économats.

Source : Calendrier historique et chronologique de l'Église de Paris, par A.M. Le Fèvre prêtre de Paris et bachelier en théologie, 1747

関連がある著名な宗教家

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Buste de Jean Mabillon

その他の関連人物

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安置されている人物

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Triple plaque funéraire de Mabillon, Descartes et Bernard de Montfaucon

参考書籍

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  • Dom Jacques Bouillart, Histoire de l'abbaye royale de Saint-Germain-des-Prés, Paris, 1724.
  • Honoré Fisquet, La France pontificale (Gallia christiana), archidiocèse de Paris, vol. 2, Paris, E. Repos,‎ 1864-1873.
  • [[{{{1}}}]] - [[ノート:{{{1}}}|ノート]]
  • Anne Prache, Île-de-France romane, Abbaye Sainte-Marie de La Pierre-Qui-Vire, Zodiaque, coll. « La Nuit des Temps »,‎ .
  • Philippe Cachau : Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, dernier des Mansart (1711-1778), thèse de doctorat d'histoire de l'art, Paris-I, 2004, t. I, p. 406-414 et t. II, p. 1201-1220, cf. http://philippecachau.e-monsite.com

関連項目

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関連記事

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外部リンク

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注釈・参照

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  1. ^ Histoire du Pré-aux-Clercs dans « ruevisconti.com »
  2. ^ Gilles Corozet in 'Fleur des Antiquitez', 1532
  3. ^ Andrée Jacob et Jean-Marc Léri, Paris, Vie et histoire du Template:6e arrondissement, 1986, Éditions Hervas, p.7.
  4. ^ Martyrologe d'Usuard, Patrologie latine, Migne p. 830
  5. ^ a b c d e f Andrée Jacob, Jean-Marc Léri, Paris - Vie et histoire du VIe arrondissement, Paris, Hervas,‎ 1986 (rééd. 1990) (ISBN 2-903118-20-5).
  6. ^ Polyptyque d'Irminon, édition Longnon, tIII, p. 156
  7. ^ À l'occasion des travaux de percement du boulevard Saint-Germain.
  8. ^ Jacques Hillairet, Connaissance du vieux Paris, Paris, Rivages,‎ 1953 (rééd. 1993) (ISBN 2-86930-648-2), tome II, p. 205.
  9. ^ Cartulaire général de Paris, De Lasteyrie, p. 375
  10. ^ Abbatiale de St-Germain-des-Prés, Yves Boiret, 1983, dossiers techniques no 2, Monuments Historiques éditeurs, p. 64-65.
  11. ^ dans son épitaphe relevée par Dom Bouillart, page 164 books.google.fr
  12. ^ histoire de l'abbaye royale de Saint-Germain-des-Prés, Dom Bouillart, 1724, Paris, p. 166 et in books.google.fr
  13. ^ Histoire de l'orfèvrerie-joaillerie et des anciennes communautés, Paul Lacroix et Ferdinand Seré
  14. ^ http://books.google.fr/books?id=VORZAAAAYAAJ&pg=PA101 Lettres patentes de Louis XI, Plessis-du-Parc-lèz-Tours, mars 1483 (1482 avant Pâques)
  15. ^ Dom Bouillart page 189
  16. ^ Cf. sur ce point [[{{{1}}}]] - [[ノート:{{{1}}}|ノート]]
  17. ^ Procès-verbal de séance du Conseil des Bâtiments Civils du 19 mars 1823, dossier no 2
  18. ^ "Notice no PA00088489". base Mérimée, ministère français de la Culture. {{cite web}}: Cite webテンプレートでは|access-date=引数が必須です。 (説明)
  19. ^ Voir aussi les églises Saint-Julien-le-Pauvre Saint-Pierre-de-Montmartre et Saint-Germain-de-Charonne
  20. ^ chronique d'Aimoin, lat 12 711 de la Bibliothèque Nationale
  21. ^ in :Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, Féchoz et Letouzey, 1883, tome I pages 264-270 catalogue.bnf.fr
  22. ^ Eugène Lefèvre-Pontalis, Congrès archéologique de Paris, 119, page 302.
  23. ^ Voir le vitrail la vie de Saint-Vincent au Walters Art Museum de Baltimore
  24. ^ Voir le vitrail représentant des scènes de la vie de Saint-Vincent au Metropolitan Museum de New-York
  25. ^ Dépliant disponible à l'entrée de l'église (août 2010).
  26. ^ par Dom Bouillart
  27. ^ Honoré Fisquet, La France pontificale (Gallia christiana), archidiocèse de Paris, vol. 2, Paris, E. Repos,‎ 1864-1873, p. 267-309.
  28. ^ Dom Claude Devic, dom Joseph Vaissète, Histoire générale de Languedoc, vol. IV, Toulouse, Privat,‎ 1876 (réimp. 2003) (ISBN 2-84575-165-6), p. 260, donne la date de 1772.
  29. ^ Notice historique et critique sur dom Jacques du Breul, prieur de Saint-Germain-des-Prés
  30. ^ Eugène Lefèvre-Pontalis, 1919, LXXX Template:IIe Congrès d'Archéologie, Paris, page 303

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